Au sujet du programme
Le programme de stage parlementaire du Nouveau-Brunswick aide des étudiantes et des étudiants d’universités du Nouveau-Brunswick à travailler en étroite collaboration avec les parlementaires et les fonctionnaires de l’Assemblée législative sur des questions de politique publique, les affaires concernant les circonscriptions et d’autres questions qui font partie des activités du gouvernement parlementaire moderne au Canada. Il s’agit d’un programme non partisan qui est financé par des fonds publics.
Les stagiaires parlementaires se familiarisent avec le fonctionnement concret d’un gouvernement parlementaire, la relation entre les élus et l’électorat, les mécanismes de reddition de comptes, les fluctuations des enjeux de politique publique et la façon dont ceux-ci influent sur les priorités des caucus du gouvernement et de l’opposition.
Le programme de stage parlementaire du Nouveau-Brunswick a été lancé en janvier 2020 sous la forme d’un projet-pilote auquel participait un étudiant. Depuis, avec l’appui du président de l’Assemblée législative et de l’initiative Avenir GNB du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, le programme a aidé deux étudiants de haut niveau d’universités du Nouveau-Brunswick à réaliser un stage de travail à temps partiel d’une durée de cinq mois, de janvier à mai chaque année. L’administration courante du programme est assurée par le bibliothécaire parlementaire. Le programme a été placé sous la supervision d’une direction et d’un comité directeur composé de membres du corps professoral des départements de science politique des universités de la province.
Les stagiaires ne sont pas affectés à un caucus ou à un parlementaire, mais se mettent plutôt au service des parlementaires de tout caucus qui ont besoin d’une assistance à la recherche. De plus, les stagiaires sont parfois appelés à effectuer des travaux pour le compte d’un ou plusieurs hauts fonctionnaires de l’Assemblée tels que le vérificateur général du Nouveau-Brunswick et le bureau de l’ombud.
Les stagiaires consacrent 20 heures par semaine à leur travail durant leur stage, conciliant les responsabilités du stage et leurs études universitaires. Ils et elles peuvent accomplir une grande partie de leur travail à distance, mais doivent à l’occasion travailler à l’Assemblée législative, à Fredericton. Les stagiaires reçoivent une allocation et pourraient aussi se voir reconnaître des unités de cours par leur université d’origine.